Le 20 mars 2009 à Quito :
Amerique du Sud, Equateur, Sept morts dans le crash d’un petit avion à Quito en Equateur – AP – Gonzalo Solano Imprimer Sept personnes sont mortes dans le crash d’un petit avion militaire jeudi contre un immeuble de Quito en Equateur, cinq personnes qui se trouvaient à bord et deux au sol. Le petit avion a rasé une maison avant de s’écraser sur un immeuble d’habitation de quatre étages dans un quartier chic de la capitale équatorienne. De la fumée noire s’élevait de l’immeuble jeudi soir pendant que les sauveteurs recherchaient des survivants dans les débris du fuselage. Les équipes de secours ont retiré plusieurs personnes blessées du site, dans un état de santé stationnaire, a précisé le chef des pompiers Atahualpa Sanchez. Les corps des passagers de l’avion étaient gravement brûlés, a-t-il précisé. Le journaliste d’Associated Press sur place a vu transporter une jeune fille blessée à la tête. La Croix Rouge a rapporté que deux personnes au sol avaient été tuées, dont une femme, mère d’un enfant de neuf ans. “J’étais dans la maison avec ma mère quand j’ai entendu quelque chose s’écraser et il y a eu une explosion” a raconté le garçon, Said Arguello. “Il y avait des flammes partout. Je ne pouvais pas sortir de ma chambre, mais les pompiers m’ont secouru”. D’après le responsable de la Croix Rouge Henry Ochoa, un huitième corps pourrait encore se trouver dans les restes de l’avion. L’accident du Beechcraft de l’armée équatorienne, en mission d’essai, s’est produit vers 17h30, heure locale (22h30 GMT), jeudi, dans un épais brouillard, d’après les témoins. Plusieurs explosions ont pu être entendues à l’intérieur de l’immeuble percuté par l’avion. “C’était affreux. J’ai vu l’avion qui volait très bas, puis j’ai entendu l’explosion” a aussi indiqué une voisine, Camille Avsert, à l’Associated Press. “Nous avons couru dans la rue et nous avons vu l’incendie”, a poursuivi le témoin. L’appareil transportait le pilote, un major, le copilote, un lieutenant et le mécanicien, un sergent, a précisé le ministre de la Défense Javier Ponce, ainsi que la femme et le fils de l’un d’entre eux. Quatre autres avions se sont déjà écrasés dans cette rue, l’avenue Gonzales Suarez, dans les années 1990. Elle se situe dans le prolongement de la piste de l’aéroport.
source :http://www.tritz1.org/?p=6156
vendredi 30 avril 2010
Histoire de fou
Publié par
Simon
à
19:12
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire